dimanche 2 décembre 2012

Lettre à Mr Sarkozy sur la politesse des nations


Lettre à Mr Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, dit Nicolas Sarkozy
  

Mr l'ex-minstre de l’intérieur de la république française, Mr l'ex-président de la république française, Mr l'actuel membre du conseil constitutionnel de la république française, Mr le citoyen de la république française. 

Cher ami des pauvres et des immigrés

Dans le passé j'avais un ami au conseil d'Etat, je tiens très sincèrement à vous féliciter pour votre accession au conseil constitutionnel. Ce haut lieu de la légalité française se trouve sans aucun doute honoré d'accueillir en son sein, entre ici Jean Moulin, un descendant d'immigré de la deuxième génération, signe  évident de la tradition d'hospitalié et d’accueil de la république française. Heureux comme dieu en France disaient les sages des nations.  
Pour faire suite aux conversations que j'avais avec mes amis du conseil d'état, je tiens à vous faire parvenir cet avis de la Maison d'Ouazzane sur les limites de la sédition démocratique en régime monarchique.  Veuillez y voir l'expression sincère d'un voeu de réconciliation entre la tradition monarchique française et l'esprit des lumières en terre pacifique d'islam. 


Cher ami, je n’ai pas été reçu à l’examen d’entrée à l’école nationale d’administration publique à Rabat ni en France.. Ce qui me donne le droit de renouveler la pensée administrative dans ces pays.  Je suis citoyen de ce pays et prince de sang et de terre ouazzani, sujet et serviteur de ce royaume et de son roi. 


Je considère l’assassinat du Dauphin, de son père Louis le seizième et de sa mère l’archiduchesse d’Autriche comme une insulte faite au principe même du bon sens, et la démocratie comme un succédané qui fait comme le disait feu le docteur Freud dont j’ai suivi les enseignements, du bien quand il ne fait pas de Mal.

 Je considère le principe de soumission à l’autorité monarchique comme une école en soi où s’enseigne non seulement le principe de soumission de la famille à l’autorité paternelle, de la communauté à son prophète, mais le principe même de soumission du serf à son maître au sein de l’autorité monothéiste. C’est une école dont je ne veux déposséder ni mes enfants ni mes arrières petits enfants.

A titre personnel et en qualité de prince de sang et de sujet du roi, je me suis battu sur les marges du royaume en Espagne, en France, en Allemagne, en Russie, en Asie du nord-est et  en Asie mineure. Je considère Constantinople comme une province du royaume, et la démocratie de Périclès comme une erreur commise par Darius.  Je ne reconnais d’autre empire sur les rois que celui de leur créateur. 

Quand Louis 14 dit « l’état c’est moi », il ne fait que rappeler ce que tous les rois savent : l’état est son orgueil, sa vanité et sa lassitude. Dans ma culture de serviteur modeste, une présidence est une infamie.  Ceci est une évidence royale et un principe princier. 

A l’orée de ce millénaire que l’on dit en crise, et pour que cela soit dit : les rois peuvent manquer de fonds mais ils ne manquent pas d’hommes. Les honnêtes aristocrates ne payent pas leur dette, et les rois ont des aristocrates pour sujet. La richesse des nations n’est pas le commerce comme le croient mes prétendus et tristes cousins d’Angleterre,  héritiers dérisoires d’une impératrice, mais la politesse quand elle est certifiée par la bénédiction royale. Cette bénédiction n’a strictement rien à voir avec le niveau d’endettement des banquiers du palais, pas plus qu’elle n’est sous l’autorité d’un fonds monétaire national ou international quelconque.

Toute fois qu’un créancier n’est pas payé il envisage une révolution démocratique. Je tiens en qualité de serviteur de ce royaume à rappeler que la seule révolution que reconnaisse la garde de ce royaume est celle, ya sin, de la terre autour du soleil.  A titre personnel je ne concède, par obligation uniquement, à ma garde, que le droit de me porter un conseil judicieux, le droit de m’imposer un acte de charité,  de foi, de conciliation ou de réparation.  Je n’autorise pas un troupion fut il président de république bananière occidentale ou élu d’une organisation patronale ou para-nationale à entrer dans ma tente avec ses bottes, quand bien même je lui devrais le ciel et la terre. 

 Par ailleurs et pour que cela soit dit et rappelé, parce que nous sommes en période de ce que les savants de ma garde appellent une fitna, il y a dans ce pays deux catégories de prince. Les princes de sang et les princes dynastiques. Les premiers sont ceux de la famille régnante, ils sont aussi les seconds,  les seconds sont ceux des dynasties précédentes. La première garde du royaume est celle des princes dynastiques quand bien même les princes de sang ne le voudraient pas. Les princes en terre de Monarchie ne déchoient jamais en deçà de ce titre. Les princes dynastiques considèrent comme une insulte personnelle faite à leur égard toute insulte faite à un de leurs pairs ou à un prince de sang. Aux marges du Royaume chérifien, la maison d’Ouazzane n’a jamais oublié de rappeler ce fait.

Dans l’extension du domaine des Khan, La Maison d’Ouazzane a perdu une génération d’enfants, que leurs mères pleurent encore. Des années d’égarement, et pas seulement communiste,  ont fait que les dynastes de ces contrées ont megligé de se rendre comptable auprès des rois avant de rendre compte ou pour rendre compte au Roi des rois.  La garde de la Maison d’Ouazzane a tenu à Moscou, comme elle a tenu à Pekin, comme elle a tenu a New Delhi, comme elle a tenu au Japon, comme elle a tenu en Alaska, comme elle a tenu en Corée. La cavalerie de la Garde a ses réserves dans tous les déserts que le Roi des rois  a bien voulu créer pour embellir son empire. La Maison d’Ouazzane n’a aucune autorité sur les savants de la garde. Des générations de savant sont morts sur les premiers rangs de la garde. L’autorité des savants de la garde dynastique est une autorité constituée par le seul impératif de ne pas desservir le Roi des roi. Les savants de ma garde princière considèrent l’attribution d’un insigne de commandement comme une insulte fait à leur rang.. 

Il est d’honneur qu’un savant de la garde se charge des petites dettes de la garde. C’est pourquoi la maison d’Ouazzane est garante des dettes de ses savants. Les savants de la Maison d’Ouazzane ne prêtent et n’empruntent qu’à Leur Maître. La défense des marges du royaume en un seul jour et en une seule nuit coûte à la garde ce qu’un empire financier ne peut emprunter ni prêter. Des générations de mères pleurent tous les jours ces générations de princes qui refusent de quitter le front.  La garde meurt mais ne se rend pas. Les savants de la garde oublient mais savent que rien ou tout est pardonné.  L’empire des khans est donc devenu une province de ce royaume. Les princes de sang n’ont rien pardonné au royaume stalino- léninique de Moscou, héritier du royaume d’Egypte. .

Quand dans la satrapie perse, un roi s’est prétendu empereur, la Maison d’Ouazzane a considéré humblement qu’une république serait un moindre mal. Les savants de sa garde ont considéré que cette éventualité ne pourrait être tolérée par le monarque que si la dite république se dotait d’un président mais réservait toute l’autorité de l’état au plus humble et au plus studieux de ses docteurs en religion. C’est la raison pour laquelle les maisons princières, dont la Maison d’Ouazzane et la maison de Konya  ont  soutenu envers et contre tout les avis des savants de la Maison de Mashad. Les princes dynastiques de toutes  maisons  de la nation sont morts pour la Maison de Koufa. Il ne sera rien pardonné de toute atteinte à la maison de Koufa.  

La Maison d’ouazzane a perdu dans cette dispute de savants des milliers de générations de ses enfants que les mères pleureront encore. Les princes dynastiques des  maisons ont fait appel aux cavaleries berbères, arabes, medes, parthes, turkhmen, Kazakh,  et j’en passe. Le loup pleu est le nom de l’insigne de commandement du chef de la cavalerie Khan. Le loup blanc est le nom de l’insigne de commandement du chef de la cavalerie Inouk. Le chef de la garde de la maison princière de Ouazzane a autorité  sur la garde kurde. 

Ce doit il l'a obtenu sous réserve de s'en tenir au jugement de Jerusalem sur l'aman accordé à tous les rescapés chrétiens de la prise de Jerusalem.  La garde princière de la maison princière de Ouazzane rappelle à la garde royale de la grande maison royale, à laquelle elle doit respect, qu'elle n'est tenue en régime démocratique qu'aux obligations et garanties de la convention de Genève.  Le corps des princes de la maison d'Ouazzane est composé de princes revenus de longs séjours dans les cours étrangères, où ils ont résidé en qualité d'otage et sous prétexte d'études. Les princes de la garde princière anciens otages et actuellement en charge de la garde kurde, rappellent aux princes de leur propre maison, qu'ils ne priveront aucun soldat de la totalité du butin acquis lors de la prise de Jerusalem, femmes enfants vieillards flore et faune compris. 

 Le non respect de la totalité des clauses de la convention de Genève dans de précédentes occasions, dénie et invalide la totalité des clauses de la convention de Genève dans les occasions suivantes. Ils considèrent que l'avis (Ijtihad) accepté par le précédent chef de la garde kurde, fut il roi, mérite d'être reconsidéré, avec tout le respect et les égards dus à la haute autorité des savants qui l'en ont avisé. le principe de base  de la garde princière dés lors qu'elle approche les marges du royaume est terra nullix et dieu sauve les rois.  Jusqu'au retour dans leurs quartier.  Ils disent: En aucun cas, nos amis des maisons d'Europe où nous avons été contraints de résider en qualité d'otages, ne doivent se tromper: les chrétiens sont nos amis, ceux qui se battent contre nous sont nos ennemis.  Que nos amis juifs d’Europe et d'Amérique  ou d'ailleurs nous le pardonnent: les générations de princes qui mourront pour la défense des marges du royaume, le feront aussi au nom de l'honneur et de la fidélité. 

 Les couleurs de la Maison d’Ouazzane sont celles du jour et de la  nuit. La pacification de la satrapie perse a pris deux ans. La ville de Shiraz fut la dernière à rendre les clefs. Il va de soi que les princes dynastiques sont enterrés au lieu où ils sont décédés. Cela vaut aussi pour les engagements qui ne sont pas tenus. La satrapie de perse est depuis une province du royaume. 

Les princes de sang n’ont jamais manqué de respect aux princes dynastiques. Il est à noter que la maison d’Ouazzane a des maisons alliées dans la maison de Bethleem et dans la maison de David. Les princes de sang et les princes dynastiques de ces deux maisons sont des hommes libres. Tous les savants de toutes les maisons sont garants du même serment.

Du point de vue de la Maison d’Ouazzane, l’état de la nation est déplorable.

Aux marges du royaume, la sédition démocratique est en place. Pour la gouverne des mauvais esprits, il y a les faits du prince ou des princes, et le fait du roi. La maison d’Ouazzane déconseille à quiconque de s’opposer à ses princes, le roi est toujours plus sage qu’eux. Il ne faut pas énerver les rois.  Ce savoir qui est une dette, les servants de la maison d’Ouazzane le doivent aux servants de la maison de Koufa. Seules deux villes dans le monde échappent à la juridiction y compris la juridiction commerciale des rois : la Mecque et Medine.  Les mauvais esprits n’ont même pas le droit d’envisager la prise de la maison de Koufa. C’est un conseil qui a sauvé les grands de ce monde lors de leur promenade en Irak. Aux mauvais esprits les mauvais conseils. 

Pour en finir avec l’illusion terroriste, qu’il soit rappelé qu’en Afghanistan les gardes des maisons princières n’élèvent et n’engagent que leurs oiseaux.  Les savants de la  maison d’Ouazzane considèrent qu’ils n’y a pas encore de raison suffisante pour que les gardes princières s’engagent en Syrie. Cet avis n'engage qu'eux. Il va de soi que l’impétuosité des princes est un facteur que les rois prennent en compte. Les jeunes princes aiment à guerroyer, en arabe on parle de ghazwa, comme ils aiment à monter à cheval, s’exercer à la lance et nager. Les rois sont patients parce qu’ils se savent entendus et respectés. Sans plus. Ils n’ont pas pour autant vocation à laisser piétiner les gardes princières ou les laisser s’appauvrir comme s’imaginent les mauvais esprits. 

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